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        <p><span>La toute nouvelle marque VVDW </span><span>est un petit bijou circulaire bien de chez nous. </span></p>
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        <p style="text-align: justify;"><span>Une passion pour les beaux vêtements et un ardent désir d&rsquo;améliorer quelque peu l&rsquo;industrie textile : il n&rsquo;en fallait pas plus pour que <strong>Véronique Vandewalle</strong>, formée aux Beaux-Arts, retourne sur les bancs de l&rsquo;école. Plus particulièrement pour suivre une formation en techniques de couture et travail sur mesure, où elle a appris à maîtriser les ficelles des métiers de styliste et de couturière. "</span><span><em>Dans l&rsquo;offre actuelle, je voyais soit de beaux vêtements soit des vêtements écologiques. J&rsquo;ai donc décidé de créer ma propre alternative atypique. D&rsquo;abord pour moi, puis peu à peu pour les personnes de mon réseau. Depuis 2021, j&rsquo;ai ma propre marque : VVDW.</em>" </span></p>
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<p style="text-align: justify;"><span>Ce tout jeune label est à l&rsquo;image de la vision de la mode de <strong>Véronique</strong> : sans compromis. Les apparences sont trompeuses dans la capsule <em>wardrobe</em> qu&rsquo;elle propose. Ainsi, quand on y regarde de plus près, il s&rsquo;avère qu&rsquo;un manteau de prime abord classique présente deux manches différentes. Ou alors il possède un col qui ne remplit pas tout à fait sa fonction traditionnelle. Plus on observe ses créations apparemment simples, plus elles deviennent complexes. Une caractéristique qui permet à la styliste d&rsquo;établir un parallèle avec les humains. "</span><span><em>Chaque pièce est un clin d&rsquo;&oelig;il à l&rsquo;asymétrie entre les moitiés gauche et droite de notre corps. Aucun être humain n&rsquo;est parfaitement harmonieux. Il arrive que ça se remarque directement, mais en général, ce sont les détails qui font toute la différence. Si on coupe la photo de quelqu&rsquo;un dans le sens de la longueur et qu&rsquo;on fait se réfléchir chacune des moitiés, on obtient deux personnes totalement différentes. C&rsquo;est incroyable, non ? J&rsquo;ignore pourquoi, mais ce déséquilibre me fascine.</em>" </span></p>

<p style="text-align: justify;"><span>Cette inégalité, on la retrouve donc aussi dans ses créations. "</span><span><em>Dans mes rayons, les vêtements parfaitement symétriques sont rares. J&rsquo;aime que les choses restent intéressantes : une veste avec une manche raglan à gauche et une manche rapportée à droite par exemple, ou une poche latérale à gauche et une poche avant à droite. À l&rsquo;image du peintre qui travaille sur une toile et du photographe avec son appareil, je considère le textile comme le canevas sur lequel je peux donner libre cours à ma créativité.</em>"</span></p>

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        <p style="text-align: justify;"><span>Les pièces peuvent être commandées en ligne, mais il est également possible de venir faire un essayage sur place, à l&rsquo;atelier <strong>VVDW</strong>. Et si les réalisations ont un côté original, le processus de production n&rsquo;est pas en reste. Animée par un souci écologique, <strong>Véronique</strong> travaille uniquement avec des tissus de haute qualité récupérés auprès de maisons comme <strong>Dries Van Noten</strong> ou <strong>Hugo Boss</strong>. Pour lutter contre le gaspillage, pas question d&rsquo;avoir du stock. Chaque commande est confectionnée à la demande, de A à Z dans son atelier. <strong>VVDW</strong> peut d&rsquo;ailleurs se targuer de figurer parmi les rares marques belges, sinon la seule, à bénéficier du label d&rsquo;Unizo Handmade In Belgium, dont les exigences sont particulièrement strictes. Étant donné que les matériaux provenant de <em>dead stocks</em> sont toujours assez limités, chaque modèle n&rsquo;est disponible qu&rsquo;en quelques exemplaires.&nbsp;</span></p>
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<p style="text-align: justify;"><span>Les clients ont la possibilité de personnaliser leurs articles : la finition des manches, la présence ou non d&rsquo;un col, ou encore la longueur d&rsquo;un manteau. Deux pièces ne sont donc jamais identiques en termes de matières, de détails ou de coloris. "</span><span><em>En fait, je reviens à la façon dont les vêtements étaient fabriqués dans les années 40, 50 et 60 : sur mesure, à la demande et adaptés aux besoins de la personne qui les porte. J&rsquo;adore la créativité de cette période, et le pouvoir que dégageait l&rsquo;esthétique de l&rsquo;époque. Curieusement, il est plus difficile de convaincre les baby boomers de pratiquer à nouveau la mode de cette manière. Je n&rsquo;ai plus besoin de persuader la jeune génération, car elle connaît et comprend l&rsquo;importance de la mode durable. Pour moi, le défi est de faire changer d&rsquo;avis le public plus âgé. L&rsquo;image poussiéreuse souvent associée aux vêtements écoresponsables représente une autre difficulté.</em>" </span><span>Les looks éclatants créés par <strong>Véronique</strong> ne risquent toutefois pas d&rsquo;être considérés comme vieux jeu. Pour s&rsquo;en convaincre, il suffit de jeter un &oelig;il à son tailleur-pantalon rouge vif en simili polyester, son incroyable manteau avec cape amovible ou encore son bomber sans col en block print. En plein dans le mille !</span></p>

VVDW : la nouvelle marque belge éco-friendly à connaître

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